Si une zone de notre cerveau nous « pousse à détruire la planète », stimuler d’autres zones pourrait nous aider à la protéger. Et pour ce scientifique, cela doit passer par un changement de société.
Si une zone de notre cerveau nous « pousse à détruire la planète », stimuler d’autres zones pourrait nous aider à la protéger. Et pour ce scientifique, cela doit passer par un changement de société.